Julie est née à la Réunion.
À 18 ans, elle a envie de découvrir le reste du monde et quitte son île pour venir étudier à Toulouse. Après ses études de chirurgie dentaire et 2 ans d’activité en cabinet mutualiste, elle s’envole pour le Québec.
Julie est née à la Réunion.
À 18 ans, elle a envie de découvrir le reste du monde et quitte son île pour venir étudier à Toulouse. Après ses études de chirurgie dentaire et 2 ans d’activité en cabinet mutualiste, elle s’envole pour le Québec.
Chirurgien-dentiste et pilote de ligne, deux métiers en apparence très différents… En réalité, beaucoup de points en commun les rapprochent.
Peut-on progresser en empathie ? Est-ce que l’empathie se mesure ? Est-ce que ça fait partie de l’innée ou de l’acquis ?
Mais finalement, c’est quoi l’empathie ? C’est la capacité de comprendre le monde intérieur de l’autre… Pas si simple !
Ne nous voilons pas la face, la santé bucco-dentaire de nos séniors et particulièrement de ceux en Ehpad ou en situation de dépendance est plus que préoccupante. Pénurie en dentistes, allongement de la durée de vie, polypathologie, manque de valorisation des soins, autant de facteurs favorisants cette problématique.
Qui ne sait pas un jour pris à rêver de pouvoir soigner sans se préoccuper de la rentabilité, de s’extraire du cycle infernal : travailler plus pour gagner plus mais aussi pour dépenser plus…
Vous avez peut-être croisé Omar au détour d’une formation à la Sapo implant ou à Parosphère, dans les locaux du Lisc ou à la faculté des saints-pères quand il était encore possible de disséquer des cadavres…
Alors collégien, Gabriel revient d’une consultation de chez son médecin traitant déterminé à devenir soignant. Il est persuadé que s’il s’occupe des gens et qu’il est gentil avec eux alors ils le seront en retour …
Quelques années plus tard, il entre à la faculté de dentaire sans conviction. Dans ce métier qu’il trouve technique et froid, il ne voit pas la dimension humaine qui l’attirait dans la médecine.
Yvon a grandi à Rabat. Fils de libraires, il évolue au milieu des livres et se passionne très vite pour la bande dessinée.
Puis à cette passion, s’ajoute celle de la course automobile.
De retour en France avec ses parents, tout en continuant à dessiner, il choisit de se lancer dans des études de chirurgien-dentiste : un métier stable qui lui permettra de continuer sa passion sans être obligé d’en vivre.
Naître, grandir et vivre dans un corps genré masculin lorsque votre esprit est résolument féminin engendre une souffrance que l’on ne peut imaginer.
Après avoir coché toutes les cases censées la conduire au bonheur, s’être réalisée professionnellement, s’être PACSEE et avoir eu un petit garçon, Jean s’est retrouvée dans un état de profond mal-être qui l’a mise face à l’évidence qu’elle souffrait de dysphorie de genre.